Une ressources inépuisable et puissante :
la confiance en soi !
«Je me sens nul, incompris, je manque de confiance. Pourquoi les autres réussissent et pas moi… ? »
Dans notre société élitiste et normative, du paraître et de l’indifférence, qui rejette violemment la différence, comment ne pas souffrir d’un manque d’estime de soi ?
La question, elle est vite répondue ! En musclant son égo pour le conduire au paroxysme du culte de la personnalité, à en faire pâlir de jalousie ce pauvre Narcisse… Ou en usant de l’auto-persuasion, tentant désespérément de se conformer en mode « je vais bien, tout va bien ! ».
Dans un cas comme dans l’autre, c’est passer à côté des plus belles choses de la vie : avancer sereinement, en confiance et sans fard, en incarnant qui l’on est vraiment. En s’aimant soi-même et en s’ouvrant librement à l’autre, avec empathie et bienveillance, sans rien attendre en retour. Cela demande une confiance en soi suffisante pour ne pas craindre le jugement. Mais quel bonheur à la clé !
Pour les hypersensibles, surefficients, zèbres, HPI, enfin pour ceux qui n’arrivent pas à rentrer dans les cases bien normées de la société, c’est un conflit quasi permanent. Leur besoin de Vérité les empêche de « faire semblant » ou de mettre de côté leurs émotions, tant elles sont intenses. S’en suit très souvent un manque de confiance en soi, allant jusqu’à l’auto-persuasion que le problème vient d’elles-mêmes. Comme la différence fait peur, cet environnement toxique arrive à les persuader que le problème vient uniquement d’eux. Leur don exceptionnel qui fait toute la richesse de leur singularité est totalement passé à la trappe. Tout comme celui du petit éléphanteau nommé Dumbo ! Vianney l’a également brillamment mis en musique :
Patiemment, par une vraie relation de confiance nommée alliance, le coaching peut rétablir progressivement cette distorsion de la réalité. En permettant d’abord un ou deux pas de côté, puis en prenant progressivement de la hauteur. Jusqu’à prendre son envol !
Le coaché, à l’instar de Dumbo, va souvent croire que c’est grâce au talent du coach qu’il arrive à s’épanouir, tout comme la plume le faisant éternuer. Avant de prendre conscience progressivement qu’en définitive c’est en lui qu’il puise ses vraies ressources pour voler de ses propres ailes. Et que ce qu’il pensait être un défaut émotionnel est en fait un don inouï. Une ressources inépuisable et puissante.
C’est ce que je nomme l’effet Dumbo que j’avais étayé dans l’analyse théorisée de ma certification de coach à l’université de Lille. Avec cette même image illustrant la première page. Culotté de parler d’un dessin animé de Walt Disney à la fac, pas vrai ? Cela m’a valu les félicitations du jury, et m’a permis de prendre mon propre envol en qualité de coach.
C’est cet effet Dumbo que j’ai le bonheur de cultiver aujourd’hui chez Singuliers & Pluriels aux côtés de mes consœurs Ségolène Dallongeville et Constance Ducrocq dans une approche pluridisciplinaire holistique.
Alors, qu’évoque en vous l’effet Dumbo, on en parle ?
Renaud Boudry